« L’homme qui du désert sera le récit (…) mêlera les mots au sable pour ouvrir les portes des villes souterraines et des nuits imprenables. La liberté aura son visage, sa voix et sa folie. Mais le désert est un malentendu, un mauvais lit pour le sommeil et le songe, une page blanche pour la nostalgie » Tahar Ben Jelloun.